1 août 2011

EAN : 9782846703864

14 x 20,5 cm - Broché - 192 pages

18,00 €

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Le Travail mis en scène

Idées reçues sur le théâtre d'entreprise

Isabelle MOISAN, Christian POISSONNEAU

Pas légitimes, pas sérieux, trop artistes pour le monde du travail ou pas assez… les comédiens, selon certaines idées reçues, n’auraient rien à faire en entreprise ! Et pourtant, ils y interviennent chaque jour un peu plus. Inventé au début des années 1980, le théâtre d’entreprise, activité en constant développement, est de plus en plus utilisé par les entreprises pour communiquer, sensibiliser ou former leurs salariés. Loin d’être le fait d’artistes isolés, cette pratique s’est structurée et professionnalisée avec le temps. Christian Poissonneau et Isabelle Moisan présentent leur expérience pratique du théâtre en entreprise pour faire ressortir toute la richesse de la rencontre de ces deux mondes.

Christian Poissonneau est fondateur de Théâtre à la Carte, leader du théâtre d’entreprise en France.
Isabelle Moisan est comédienne, scénariste et formatrice à Théâtre à la Carte.

Cet ouvrage a été réalisé en partenariat avec Théâtre à la Carte.

 

Sommaire

Introduction

Le théâtre d’entreprise, c’est quoi ?

« C’est le mariage de la carpe et du lapin. »

« C’est pour les grosses entreprises. »

« C’est de l’impro, c’est pas préparé. »

« Ce sont les mêmes interventions partout. »

« C’est de la thérapie de groupe. »

« Ce n’est pas du vrai théâtre. »

Le théâtre d’entreprise, ça sert à quoi, à qui ?


« C’est un théâtre à la solde du patronat. »

« C’est un outil de rébellion pour salariés. »

« Ça sert à faire “avaler la pilule”. »

« Ça ne sert à rien : ça ne change rien. »

« Ça sert à faire dire par d’autres ce qu’on ne peut pas dire. »

« On en fait pour être à la mode. »

Le théâtre d’entreprise, comment, par qui ?

« Ce sont des clowns ou des bouffons qui égayent les séminaires. »

« Des comédiens n’ont pas de légitimité à s’exprimer sur les sujets sensibles de l’entreprise. »

« C’est fait par des comédiens ratés. »

« C’est facile : le public est captif ! »

« Ça oblige les salariés à se mettre en danger. »

« Ça “sensibilise”, mais ça ne “forme” pas. »

Conclusion