1 août 2009

EAN : 9782846702621

10.5 x 18 - format poche - broché - 128 pages

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Alzheimer

Florence MOULIN, Solène THÉVENET

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« La maladie d’Alzheimer est une maladie de la mémoire », « Heureusement, les malades n’ont pas conscience de leur état », « Il faut stimuler en permanence les malades », « Il perd les mots. On ne peut plus communiquer », « On est démuni face à cette maladie qui nous dépasse »… Faisant le point sur les connaissances actuelles, cet ouvrage nous aide à mieux comprendre cette maladie complexe, souvent qualifiée de « maladie du XXIe siècle » et apporte également de précieux conseils pour l’entourage.

Florence Moulin est psychologue à l’hôpital Broca, CMRR-Ile-de-France Sud (Centre Mémoire de Ressources et de Recherche).
Solène Thévenet est psychologues à l’hôpital Broca, CMRR-Ile-de-France Sud (Centre Mémoire de Ressources et de Recherche).

 

Sommaire

Introduction
 : « On ne peut que subir la maladie d’Alzheimer d’un proche. »

La maladie

« J’ai une démence comme mes parents, je ne veux pas devenir fou. »

« La maladie d’Alzheimer est exclusivement une maladie de la mémoire. »

« Avoir des difficultés de mémoire est normale à partir d’un certain âge. »

« J’ai des problèmes de mémoire, c’est la maladie d’Alzheimer. »

Les malades


« Heureusement, les malades n’ont pas conscience de leur état. »

« Il perd les mots. On ne peut plus communiquer. »

« On vient d’avoir le diagnostic, mon proche ne pourra bientôt plus rien faire seul. »

« Il faut stimuler en permanence les malades. »

« Je ne reconnais pas mon proche, ce n’est plus la même personne. »

« Il se laisse aller. »

« Il se replie sur lui-même. »

« Il est agressif, j’ai l’impression qu’il m’en veut. »

Les aidants

« On ne peut pas en parler. »

« Je peux et je dois gérer seul(e). »

« On ne s’occupe que de mon proche malade. »

« Je réagis mal, je ne suis pas à la hauteur, je n’y arriverai jamais. »

« On ne pourra plus rien faire, aller en vacances, chez des amis, poursuivre nos activités. »

« Tout ce qui m’arrive est lié à la maladie de mon proche parent. »

« Je ne pourrai jamais le mettre en institution, ce serait comme un abandon. »

Conclusion
 : « On est démuni face à cette maladie qui nous dépasse. »