1 septembre 2005

EAN : 9782846701150

10.5 x 18 - format poche - broché - 128 pages

12,00 €

Pour les commandes à l’étranger, merci de nous contacter directement par mail : contact[at]lecavalierbleu.com.

La Géographie contemporaine

Sylvain ALLEMAND, Olivier VILAÇA, René-Éric DAGORN

  • Lire un extrait

« Les Français n’aiment pas la géographie »,  « Aux historiens le temps, aux géographes, l’espace »,  « Les frontières sont des réalités naturelles »,  « L’Occident, c’est l’Europe + l’Amérique du Nord »,  « La Turquie n’appartient pas à l’Europe »,  « La mondialisation accentue les délocalisations »,  « La planète ne peut pas nourrir tout le monde »… Longtemps réduite aux cartes et aux départements, la géographie a connu des bouleversements importants ces trente dernières années et les auteurs nous montrent ici que « faire de la géo », c’est avant tout comprendre le monde qui nous entoure.

Sylvain Allemand, journaliste, René-Éric Dagorn, géographe et historien et Olivier Vilaça, géographe, sont tous trois maîtres de conférence à l’IEP Paris, notamment sur l’enseignement « Enjeux politiques de la géographie ».

 

Sommaire

Introduction

Sur la discipline

« Les Français n’aiment pas la géographie. »

« Nous sommes tous géographes. »

« La géographie, ça sert, d’abord, à faire la guerre. »

« La géographie, c’est la cartographie. »

« La géographie est une science naturelle. »

Sur les objets


« Aux historiens le temps, aux géographes l’espace. »

« La géographie, c’est la science des paysages. »

« Avec les nouvelles technologies, nous assistons à la fin des distances. »

« Les géographes ne s’intéressent pas à la ville. »

« Les frontières sont des réalités naturelles. »

« On ne peut rien faire face aux risques naturels. »

« L’Occident, c’est l’Europe + l’Amérique du Nord. »

Sur les enjeux de société

« Le monde vit à l’heure du choc des civilisations. »

« Les changements climatiques menacent l’humanité. »

« La Turquie n’appartient pas à l’Europe. »

« Nous vivons dans un village global. »

« La planète ne peut pas nourrir tout le monde. »

« La mondialisation accentue les délocalisations. »

Conclusion