ACTUALITÉ

Posté le 13 novembre 2023

Festival les Menstrueuses

Le festival Les Menstrueuses se tiendra pour sa 3e édition du 21 au 26 novembre 2023 à Poitiers. L’événement créé en 2021 par Marion Coville, Héloise Morel et Stéphanie Tabois (Université de Poitiers et Espace Mendès France) est l’occasion d’évoquer les enjeux sociaux, politiques et économiques des menstruations. Pourtant vécues par de nombreuses femmes et personnes trans, les règles restent un tabou majeur dans de nombreuses sociétés. Elles y présenteront aussi en avant-première le livre collectif « Idées reçues sur les menstruations ». Pour en savoir plus sur le livre ou le commander, cliquez ICI.

Les Menstrueuses proposent des points de vue multiples et interdisciplinaires sur les règles et leur représentation, leur histoire, les pratiques et technologies qui les façonnent, la manière dont elles sont représentées dans les médias et les publicités, les discours médicaux qui cadrent l’expérience menstruelle ou encore les enjeux sociaux et économiques qui les traversent, comme celui de la précarité menstruelle.

Les Menstrueuses ce sont des tables rondes, des performances, des fanzines, des journées d’échanges, des ateliers, des stands, des projections, un café discussion, de la communication sur les réseaux sociaux, des vidéos et des podcasts.

Retrouvez la programmation complète de cette 3e édition ICI.

Posté le 30 mai 2023

Focus sur le travail

Cette semaine, nous vous proposons un focus sur le travail, grand oublié de la réforme des retraites :

Idées reçues sur le travail, dirigé par Marie-Anne Dujarier

Le travail organise nos existences, influe sur notre santé, trame nos échanges quotidiens et fait l’objet de politiques. S’il ne laisse personne indifférent, c’est que ce mot polysémique charrie de multiples enjeux et valeurs.
Or les idées reçues sur le travail en France sont légion : il se limiterait à l’emploi, il coûterait trop cher, son Code serait trop complexe, les jeunes ne l’aimeraient plus, les robots remplaceraient les humains, on peinerait à recruter, le salariat serait d’un autre temps, tandis qu’on pourrait trouver le bonheur dans les start-up…
37 chercheur·es – sociologues, économistes, historiens, psycho­logues, ergonomes, linguiste et médecin – auscultent de près ces idées reçues concernant l’emploi, l’activité et son organisation pour démêler le vrai du faux et nous permettre de penser le travail autrement.

Marie-Anne Dujarier est professeure de sociologie à l’Université Paris Cité.

Ont aussi contribué à cet ouvrage : Sarah Abdelnour, Amélie Adam, Laure Bereni, Sophie Bernard, Antonio A. Casilli, Hadrien Clouet, Collectif Rosa Bonheur, Nicolas Da Silva, Mireille Eberhard, Corinne Gaudart, Isabelle Gernet, Baptiste Giraud, Aurélie Gonnet, Gokçe Gulkan, Fabienne Hanique, Florence Ihaddadene, Lionel Jacquot, François Jarrige, Nicolas Jounin, Josef Kavka, Franck Lebas, Dominique Lhuilier, Fabienne Muller, Luca Paltrinieri, Émilien Ruiz, Maud Simonet, Annie Thébaud-Mony, Jens Thoemmes, Serge Volkoff, Laurent Willemez et Michaël Zemmour.

Lire un extrait ou commander l’ouvrage en cliquant ICI.

Posté le 17 mai 2023

Focus sur les Tsiganes

Cette semaine, à l’occasion de l’ouverture de l’exposition « Barvalo » au Mucem et du pèlerinage des Saintes-Maries-de-la-Mer, nous vous proposons un focus sur les Tsiganes :

Géopolitique des Tsiganes, d’Adèle Sutre

Qui sont les Tsiganes ? Quels points communs entre des familles manouches d’Auvergne, des Roms de Roumanie ou de Finlande, des Sinti allemands, des Gitans espagnols ou de Camargue, des Zingari italiens, des Gypsies anglais, des Roms australiens, américains ou argentins, des Tchinganés turcs ? Une telle diversité s’accompagne d’une pluralité de représentations et de pratiques de l’espace, entre circulations et ancrages.
Cette géopolitique des mondes tsiganes propose des clés de lecture pour penser des façons d’être au monde diverses, bien que généralement perçues de l’extérieur comme homogènes. Alors que les Tsiganes ont souvent été présentés comme un peuple « sans histoire », dont les manières d’être et de faire seraient immuables, Adèle Sutre s’attache à rendre compte de toute l’importance des processus historiques dans la compréhension des enjeux contemporains.

Voir la fiche du livre ICI.

Présences tsiganes, dirigé par Ilsen About et Marc Bordigoni

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les ­Tsiganes ont laissé de nombreuses traces de leur présence au cours de l’histoire. Grâce à un minutieux travail de recherche dans les archives françaises et européennes, les auteur·e·s nous permettent d’écrire une histoire des mondes tsiganes dans toute sa diversité et sa complexité. La redécouverte et, surtout, la mise en place de métho­dologies scientifiques pour analyser les nombreuses archives administratives et photographiques sont aussi l’occa­sion de restituer l’épaisseur des trajectoires des Tsiganes.
Ce travail collectif d’une ampleur sans précédent donne à voir un champ de recherches vaste qui nous pousse également à appréhender les dérives contemporaines des savoirs sur les Tsiganes et leurs conséquences sur la production d’une image négative puissante.

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Gitans, Tsiganes, Roms… idées reçues sur le monde du Voyage, de Marc Bordigoni

Gitans, tsiganes, roms… ces mots désignent-ils toujours les mêmes personnes, ou au contraire des familles aux expériences humaines différentes et que l’on regroupe sous des termes larges et un peu flous ? Présents en Europe, mais aussi en Amérique, « ces gens-là » ont toujours attiré le regard de leurs contemporains et l’attention, quand ce n’est pas la suspicion, des pouvoirs publics.
Beaucoup d’idées reçues circulent à leur propos, témoignant à la fois de la peur et de la fascination, et bien souvent de l’ignorance : « Les Gitans viennent de l’Inde », « Les Gitans vivent dans des camps », « Les Roms sont des Gitans nomades venus de l’Est », « Ils n’envoient pas leurs enfants à l’école », mais aussi « Les Gitanes savent lire les lignes de la main », « Les Gitans ont la musique dans le sang », etc.
On loue leur sens de la famille et leur culture. Mais on leur interdit l’entrée de nos villages et le stationnement dans nos villes. Cet ouvrage est une invitation à ouvrir les yeux… et les esprits !

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Posté le 24 avril 2023

Focus sur le cinéma

A quelques jours de l’ouverture du Festival de Cannes, nous vous proposons cette semaine un focus sur la Géopolitique du cinéma avec l’ouvrage suivant :

Géopolitique du cinéma, de Chloé Delaporte

Le boycott récent de certains films et acteurs russes lors des derniers festivals rappelle combien le cinéma se trouve au cœur d’enjeux géopolitiques, à la fois parce qu’il est utilisé comme arme de soft power, voire de propagande, et peut être censuré, mais aussi parce qu’il représente une activité très lucrative pour certains États.
À la croisée de nombreuses disciplines – économie, sociologie, sciences politiques, histoire, etc. –, et d’échelles géographiques multiples, du local à l’international, la géopolitique du cinéma convoque également une grande variété d’acteurs tant publics que privés.
Et, au-delà des enjeux « historiques » de puissance économique et culturelle, de nouveaux défis se font jour : diversité et inclusion, mais aussi lutte contre le changement climatique que cette industrie au lourd bilan carbone peine à engager. La réponse proposée par Netflix en est l’ironique illustration : Don’t look up !

Lire un extrait ou commander l’ouvrage en cliquant ICI.

Posté le 13 février 2023

Guerre en Ukraine : un an après

L’occasion avec cette nouvelle édition revue et augmentée de revenir sur l’invasion russe et ses conséquences.

Régulièrement présente dans les médias depuis une dizaine d’années, l’Ukraine est au cœur de l’actualité internationale depuis l’invasion russe du 24 février 2022 qui a transformé en guerre chaude un conflit qui semblait gelé à l’est depuis 2014.

Les nombreuses analyses et débats consécutifs à cette invasion furent l’occasion de mesurer combien notre connaissance de ce pays était lacunaire, se limitant souvent aux clichés d’une Ukraine berceau de la Russie, terre des cosaques, grenier à blé de l’URSS et d’une succession de gouvernements entachés par une corruption massive.

Partant de ces idées reçues, auxquelles s’ajoutent désormais celles directement liées à la guerre, Alexandra Goujon dresse un portrait précis et documenté de cette Ukraine qui nous est désormais plus familière.

Pour lire un extrait ou commander le livre, cliquez ICI.

Posté le 10 octobre 2022

Rencontre Régis Aubry

Régis Aubry, auteur de Penser la fin de vie, fera une conférence-débat sur le thème « Fin de vie : faut-il faire évoluer la loi ? » le lundi 17 octobre 2022 de 20h à 22h à Besançon.

Depuis quelques décennies la fin de vie a dépassé le cadre de l’intime pour devenir l’enjeu d’une société qui refuse de plus en plus la mort. Certains « cas » très médiatisés ont également conduit à la ­­­­« sensationnalisation » d’un débat qui peine à être mené sereinement, alors même qu’il nous concerne tous : collectivement, par les réponses que les soignants et le législateur apporteront, individuellement par l’appréhension que nous avons de notre finitude.

Pionnier dans la recherche sur la fin de vie et les soins palliatifs, Régis Aubry en aborde tous les aspects dans leur complexité et avec une profonde humanité. Ce faisant, il nous invite aussi à réfléchir sur la vie et le sens que nous voulons lui donner.

Voir la fiche du livre ICI.

Informations pratiques :
Petit Kursaal
Place Granvelle
Entrée gratuite
Association Jalmav Besançon
03 81 81 48 98
jalmavbesançon@orange.fr
Lien vers leur site ICI.

Posté le 28 septembre 2022

Rencontre avec Manon-Nour Tannous

Manon-Nour Tannous, docteure en relations internationales, présentera son nlivre La Syrie au-delà de la guerre le jeudi 2 février 2023 à 19h à l’Institut du monde arabe, dans le cadre des Jeudis de l’IMA.

Au cœur de l’actualité depuis plus d’une décennie, la Syrie offre un visage meurtri par une guerre interminable qui occulte sa puissance et sa richesse passées.
Focalisé sur cette guerre, on en oublie la Syrie « d’avant », celle de l’Antiquité, d’Alep, de Damas, de Palmyre et, plus récemment, la Syrie des accords Sykes-Picot qui devient le cœur du nationalisme arabe. Passée en coupe réglée sous le régime Assad, les images qui nous parviennent depuis sont souvent caricaturales : État laïc, mosaïque communautaire, présidence modernisatrice de Bachar, collusion avec l’Iran et lutte sans merci contre Israël… et pour finir, l’alternative du « soit Bachar, soit Daech ».
S’appuyant sur une analyse précise de l’histoire et la société syriennes, Manon-Nour Tannous nous invite à dépasser les idées reçues et les raccourcis sur cet acteur majeur du Moyen-Orient.

Voir la fiche du livre ICI.

Informations pratiques :
Institut du monde arabe
1, rue des Fossés Saint Bernard
75005 Paris
Bibliothèque niveau 1
Accès libre dans la limite des places disponibles
Toutes les infos sur le site de l’IMA ICI.

Posté le 29 juin 2022

« L’Ukraine : de l’indépendance à la guerre » primé !

L’ouvrage d’Alexandra Goujon, L’Ukraine : de l’indépendance à la guerre, paru en novembre 2021, vient de recevoir le prix du livre Mieux comprendre l’Europe, parrainé par l’Institut Jacques Delors (ex æquo avec l’ouvrage de Gilles Grin).

Depuis une dizaine d’années, l’Ukraine apparaît régulièrement sur le devant de la scène internationale, que ce soit pour ses mouvements protestataires, ou à propos de l’annexion de la Crimée par la Russie et du conflit à l’est du pays, semblant constituer le théâtre d’une nouvelle guerre froide qui cristallise les tensions entre la Russie et les nations occidentales.
Les événements récents sont aussi l’occasion de mesurer combien notre connaissance de ce pays est lacunaire, se limitant souvent aux clichés d’une Ukraine berceau de la Russie, terre des cosaques, grenier à blé de l’URSS et d’une suite de gouvernants entachés par une corruption massive.
Partant de ces idées reçues, Alexandra Goujon dresse un portrait précis et documenté de cette Ukraine, terre de contrastes.

Pour retrouver toutes les informations sur le livre et le commander, cliquez ICI.

 

Posté le 16 juin 2022

Focus sur les petits diplômes

Cette semaine, nous vous proposons un focus sur les petits diplômes qui posent de grandes questions :

Idées reçues sur les « petits » diplômes, dirigé par Séverine Depoilly, Gilles Moreau, Adrien Pégourdie et Fanny Renard

On entend souvent que les diplômes ne vaudraient plus grand-chose et que les diplômes professionnels seraient désajustés par rapport au travail et à l’emploi.
Or, si les diplômes professionnels ont bel et bien évolué depuis la massification scolaire et la libéralisation de l’économie, ils continuent d’être décernés à une large partie de la population et les idées reçues concernant leur élaboration, leurs publics et leurs débouchés sont nombreuses.
Cet ouvrage, écrit par des chercheurs et chercheuses spécialistes de la formation professionnelle, dépasse ces préjugés et donne une image riche et nuancée de ces « petits » diplômes qui ne peuvent être réduits à des diplômes de la seconde chance. Ainsi s’agit-il de précisément discuter la valeur de ces diplômes tant sur les marchés scolaires que dans le monde du travail.

Ont contribué à cet ouvrage : Amélie Beaumont, Joachim Benet Rivière, Charline Brandy, Sophie Denave, Nicolas Divert, Henri Eckert, Prisca Kergoat, Nadia Lamamra, Marie-Hélène Lechien, Emmanuel de Lescure, Maryse Lopez, Fabienne Maillard, Fanette Merlin, Sylvie Monchatre et Sophie Orange.

Voir la fiche du livre et lire un extrait ICI.

 

 

 

Posté le 13 mai 2022

Rencontres avec Giulia Fabbiano

Giulia Fabbiano, co-directrice de l’ouvrage Algérie coloniale. Traces, mémoires et transmissions, présentera et dédicacera l’ouvrage dans les événements suivants (la liste sera mise à jour) :

– mardi 24 mai de 17h à 19h à Aix
MMSH – Salle PAF
5 Rue Château de l’Horloge
13090 Aix-en-Provence
Plus d’informations sur leur site : https://mesopolhis.fr/blog/events/rencontres-au-mesopolhis-autour-de-louvrage-algerie-coloniale-traces-memoires-et-transmissions/

Posté le 14 mars 2022

Collection MiMed

Une toute nouvelle collection autour des migrations, appelée MiMed (Migrations Méditerrannée), voit le jour au Cavalier Bleu, en partenariat avec la Maison méditerranéenne des sciences de l’homme (MMSH, Université d’Aix-Marseille).
Cette collection propose une lecture scientifique et accessible des migrations, si souvent au cœur de débats passionnés. L’approche par les sciences sociales, dans une perspective pluridisciplinaire, révèle la fabrique de la Méditerranée au travers des dynamiques migratoires et transnationales, en son sein comme en d’autres espaces, aujourd’hui comme hier.

Le premier ouvrage à paraître dans cette collection est Algérie coloniale – Traces, mémoires et transmissions, dirigé par Giulia Fabbiano et Abderahmen Moumen. Voir la fiche complète du livre ICI.
Le deuxième titre (à paraître en septembre), dirigé par Virginie Baby-Collin et Farida Souiah, abordera les migrations des enfants et des jeunes.

Posté le 23 novembre 2021

Sélection pour lutter contre le sexisme

Cette semaine, nous vous proposons quelques ouvrages en écho à la publication du rapport du HCE sur le sexisme :

Féminismes : 150 ans d’idées reçues, de Christine Bard

S’il est un terreau fertile pour les idées reçues, c’est bien le féminisme et son histoire. Préjugés innocents ou délibérément antiféministes, ces idées reçues ont la vie dure et nourrissent les malentendus et les attaques qui impactent les luttes et les disqualifient.
Des suffragettes à Nous toutes, en passant par l’incontournable MLF, ce livre dévoile des combats passionnés et passionnants, au cœur de controverses essentielles dans le débat public. Les divergences politiques et philosophiques traversant également les mouvements féministes, l’autrice entre dans le vif des querelles pour en expliciter le sens. Qu’il s’agisse de la laïcité, de la parité, de l’écologie, des normes corporelles, de la révolution sexuelle ou encore de l’écriture inclusive, des féminismes pluriels apportent des réponses plurielles, présentées ici avec nuance et pédagogie.

Voir la fiche du livre ICI.

Transidentités et transitudes, de Karine Espineira et Maud-Yeuse Thomas

Si la transidentité n’est pas un fait nouveau, les franchissements de genre suscitent toujours préjugés, brutalités, théories et pressions sur les existences des personnes concernées. Lorsque l’on évoque les transidentités, des questions viennent ainsi inéluctablement : comment un homme pourrait-il devenir une femme ? Une femme, un homme ? Ces formulations ont-elles un sens ? Pour qui et pourquoi ? Une autre question surgit : quel est le sens du mot devenir ? Car les transidentités, appréhendées par le concept d’identité de genre ou sous l’idée d’expériences de vie trans, réinterrogent l’analogie « naissance = assignation ».
C’est tout l’enjeu de cet ouvrage que de montrer que les transitions sont plurielles et bien plus complexes qu’un passage sans retour d’un point A à un point B, que le verbe « devenir » doit être pris au sens fort de « devenir enfin la personne que l’on est ». Être trans est ainsi une expérience du monde qui questionne la construction sociale qu’est la binarité.
On ne naît pas, on devient…

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Questions de genre, de Perrine Lachenal

Le « genre » véhicule peurs et fantasmes. Mal connu, le mot est employé à tort et à travers et instrumentalisé politiquement, ce qui réduit généralement les débats à un florilège d’idées reçues. Il serait ainsi une « mode américaine », une « lubie de féministes » ou encore une « théorie fumeuse », voire dangereuse, cherchant à nier les différences entre les femmes et les hommes et à s’immiscer dans les salles de classe et les têtes des enfants… Face à tant de confusion, il est fondamental d’apporter un éclairage sur ce que le genre est, et sur ce qu’il n’est pas. Car le genre est un concept bien précis et tout à fait sérieux.
Les études sur le genre constituent en France un champ de recherche florissant et dynamique, au sein duquel sont analysées des questions fondamentales portant sur des sujets aussi variés que le travail, la santé, le langage, la violence, la sexualité ou encore le sport, la famille, la religion, etc.
C’est précisément pour cela qu’il est essentiel de rendre les réflexions sur le genre accessibles au plus grand nombre, au-delà du milieu universitaire où elles sont encore trop souvent confinées.

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Vers une société du care, de Caroline Ibos, Aurélie Damamme, Pascale Molinier et Patricia Paperman

Difficilement traduisibles en français, apparemment « importées » des États-Unis, les éthiques du care répondent à une préoccupation de plus en plus prégnante dans notre société, celle du soin, au sens ordinaire et non médicalisé du mot.
Or, si le care est largement étudié outre-Atlantique, il a fait l’objet de peu de publications en France jusqu’à présent, alors même qu’un vrai travail interdisciplinaire a été mené par les chercheurs et chercheuses françaises (philosophes, socio­logues, psychologues, politistes, etc.). Le rayonnement de ces ­travaux au niveau international faisant d’ailleurs que l’on parle ­désormais d’« école française du care ».
La perspective du care, encore peu connue, est un enjeu majeur de notre monde commun. Les autrices cherchent ici à en montrer les multiples aspects afin que chacun puisse en percevoir les contours pour, in fine, y prendre sa part.

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Posté le 22 février 2021

Focus sur les addictions

Cette semaine, nous vous proposons un focus sur les addictions, maladie chronique, et la nécessité d’une meilleure prévention avec les livres suivants :

25 Idées reçues sur les addictions, de Laurent Karila

Mégafeux en Californie ou en Australie, précipitations hors norme et inondations dans le sud de la France, ouragans dévastateurs en Asie… les catastrophes climatiques semblent se multiplier et s’intensifier. Elles suscitent effroi et inquiétude au sein des populations. Disparition de sociétés, déclenchement d’événements historiques majeurs, source de conflits et de guerre, de maladies et de migrations de masse… les nombreuses idées reçues liées à ces phénomènes climatiques inquiètent !
Cependant, ces catastrophes climatiques sont-elles inélucta­bles ? De tous les périls, sont-elles les plus graves ? Ne sont-elles pas autant d’opportunités pour repenser et transformer nos sociétés ? La science et le progrès technique peuvent-ils nous mettre à l’abri ? Au Nord comme au Sud ?
Ces 21 idées reçues mêlant histoire, science et géographie nous permettent de démêler le vrai du faux sur ces catastrophes climatiques qui effraient autant qu’elles fascinent.

Voir la fiche du livre et en lire un extrait ICI.

 

Géopolitique de l’eau, de David Blanchon

La ressource en eau est souvent comparée au pétrole dont la pénurie conduirait à une « crise de l’eau » imminente, permanente, locale et globale. De ce constat alarmiste aux guerres de l’eau prédites par certains, il n’y a qu’un pas. Pourtant, la place de l’eau dans les conflits est débattue. Si elle les aggrave, elle en est rarement la cause première, et peut même être un bon terrain de coopération lorsque l’on veut faire la paix. Plus qu’une « crise de l’eau » liée à une pénurie naturelle, la géopolitique de l’eau est gouvernée par des politiques de l’eau déficientes, et par la difficulté à garantir la sécurité hydrique, le tout aggravé par le réchauffement climatique. Mais des solutions pour une « nouvelle culture de l’eau » existent, encore faut-il réussir à les mettre en place.
Au travers de cette analyse précise, David Blanchon détaille les trois grands défis pour la gestion de l’eau au XXIe siècle : préserver l’écosystème, fournir à tous une eau potable et procurer suffisamment d’eau pour l’agriculture. Car sa place centrale dans la satisfaction de besoins humains fondamentaux fait de l’eau, au même titre que le climat, un enjeu global.

Voir la fiche du livre et en lire un extrait ICI.

 

 

 

Posté le 3 février 2021

Prévention du suicide

Le 5 février est la journée nationale de prévention du suicide. A cette occasion et en cette période compliquée, il est nécessaire de mieux comprendre la réalité du suicide pour mieux le prévenir.

Le suicide est un cri adressé aux autres, un cri trop souvent étouffé par tous ceux qu’il dérange. Il est un rendez-vous manqué avec les vivants, une protestation, un refus de toutes les injustices sociales qui mènent au désespoir et facilitent le passage à l’acte. Étudiants précarisés, salariés épuisés, harcelés, agriculteurs isolés, enseignants oubliés, policiers stigmatisés, chômeurs fragilisés, femmes violées… il faut aller au-devant de toutes celles et ceux que la société laisse au bord du chemin, entendre leur cri pour prévenir l’irréparable.
Mais la prévention n’est possible que par une connaissance précise, approfondie de la réalité du suicide, des groupes les plus exposés et de celles et ceux qui doivent vivre l’épreuve indicible du suicide d’un proche.
En interrogeant les idées reçues qui entourent ce sujet encore tabou, cet ouvrage répond à un enjeu essentiel : mieux com­prendre afin de mieux prévenir. Car la France, très en retard dans ce domaine, doit de manière urgente faire de ce drame personnel et social une grande cause nationale de santé.

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Posté le 16 décembre 2020

2022, une année géopolitique

Cette semaine, nous vous proposons de revenir sur l’année 2022 avec cette sélection de livres :

L’Ukraine : de l’indépendance à la guerre, de Alexandra Goujon

Depuis une dizaine d’années, l’Ukraine apparaît régulièrement sur le devant de la scène internationale, que ce soit pour ses mouvements protestataires, ou à propos de l’annexion de la Crimée par la Russie et du conflit à l’est du pays, semblant constituer le théâtre d’une nouvelle guerre froide qui cristallise les tensions entre la Russie et les nations occidentales.
Les événements récents sont aussi l’occasion de mesurer combien notre connaissance de ce pays est lacunaire, se limitant souvent aux clichés d’une Ukraine berceau de la Russie, terre des cosaques, grenier à blé de l’URSS et d’une suite de gouvernants entachés par une corruption massive.
Partant de ces idées reçues, Alexandra Goujon dresse un portrait précis et documenté de cette Ukraine, terre de contrastes.

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Géopolitique de la santé, de Lucie Guimier

Le champ de la santé est depuis longtemps source de tensions scientifiques, diplomatiques et politiques entre les nations. La pandémie de Covid-19 nous a rappelé les rivalités de pouvoir à l’œuvre : diplomatie du vaccin, fermeture des frontières, rapports de domination inter- et intra-étatiques, influence des fondations philanthropiques, etc.
Comment des questions sanitaires deviennent-elles des enjeux géopolitiques ? Par quels processus les interrelations étatiques influencent-elles en retour la santé des populations ? Depuis plusieurs années, certains débats – obligations vaccinales, interruption volontaire de grossesse, etc. – traduisent des enjeux profonds de société et révèlent la pluralité des questionnements autour de la santé publique.
Les ramifications dans ce domaine sont complexes et montrent combien santé et géopolitique sont étroitement imbriquées.

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Géopolitique des extrêmes droites, de Stéphane François

Repli identitaire, nationalisme, fermeture des frontières… l’idéo­logie des extrêmes droites semble aux antipodes du concept même de relations internationales. Quel sens a donc une approche géopolitique ?
Au-delà du fantasme d’une « Internationale brune », l’histoire des mouvements d’extrême droite montre que ses militants n’ont eu de cesse de sortir de l’isolement national en se nourrissant de théoriciens d’horizons divers dont les idées diffusent mondialement. Pensons à l’assassin de Christchurch se réclamant de Renaud Camus et de son idéologie du « grand remplacement ».
Reprenant la thèse du choc des civilisations de Samuel Huntington et convaincues que l’avenir sera constitué de grands ensembles civilisationnels conflictuels, les extrêmes droites construisent ainsi une géopolitique identitaire censée lutter pour la survie de la « race blanche ». De quoi se nourrit l’extrême droite ? Sur quels discours s’appuie-t-elle ? Comment se mettent en place ses réseaux internationaux ?
C’est ce que décrit Stéphane François dans cette analyse originale des contenus idéologiques et des grandes phases de dévelop­pement des extrêmes droites de par le monde.

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Géopolitique de l’Indo-Pacifique, de Paco Milhet

Derrière chaque dénomination géographique se cache une intention politique. L’Indo-Pacifique ne déroge pas à la règle… Nouveau leitmotiv des relations internationales, cette construction stratégique vise à contenir la montée en puissance de la Chine et met en exergue la rivalité sino-américaine. Mais elle se traduit aussi par des enjeux régionaux qui ne sont pas toujours en ligne avec la stratégie de certaines métropoles, notamment la France, acteur important grâce à ses collectivités présentes dans la région.
Les problématiques de l’Indo-Pacifique se développent donc à plusieurs échelles, internationale, nationale et locale. Ce sont ces représentations multiscalaires, conduisant à des intérêts géo­politiques parfois concurrents, que Paco Milhiet analyse dans cet ouvrage.

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Posté le 6 avril 2020

E-book du mois en accès libre

Le Cavalier Bleu vous offre ce mois-ci en accès libre Les Lieux du voyage dirigé par Rémy Knafou.

 

Le voyage est assurément affaire de lieux, de lieux rêvés et imaginés, de lieux habités et pratiqués. Il constitue l’une des modalités inventées par les hommes pour passer d’un registre à un autre, du rêve à la réalité, du quotidien au hors-quotidien. Mettre en perspective ces représentations, confronter le lieu d’aujourd’hui à ce qu’il était cinquante ans plus tôt, à d’autres lieux comparables à l’autre bout du Monde, relier ce lieu aux pratiques qui s’y développent, etc. C’est à cet exercice que se livre Rémy Knafou et son équipe de chercheurs, au travers de multiples lieux, symboles de pratiques particulières de voyage : les lieux du désir, les lieux du déplacement, ceux de l’hébergement, les lieux subvertis par la touristification, les lieux métropolitains, les littoraux, les îles… jusqu’aux lieux extrêmes.

 

Vous pouvez télécharger cet ouvrage gratuitement sur les plateformes indépendantes Place des libraires ICI ou Les Libraires.fr ICI.

Retrouvez aussi tous nos autres e-books disponibles sur cette PAGE.

Posté le 23 mars 2020

Focus sur la COP 27

Cette semaine, nous vous proposons un focus sur la COP 27 avec les livres suivants :

Catastrophes climatiques : 21 idées reçues pour comprendre et agir, de Alexis Metzger

Mégafeux en Californie ou en Australie, précipitations hors norme et inondations dans le sud de la France, ouragans dévastateurs en Asie… les catastrophes climatiques semblent se multiplier et s’intensifier. Elles suscitent effroi et inquiétude au sein des populations. Disparition de sociétés, déclenchement d’événements historiques majeurs, source de conflits et de guerre, de maladies et de migrations de masse… les nombreuses idées reçues liées à ces phénomènes climatiques inquiètent !
Cependant, ces catastrophes climatiques sont-elles inélucta­bles ? De tous les périls, sont-elles les plus graves ? Ne sont-elles pas autant d’opportunités pour repenser et transformer nos sociétés ? La science et le progrès technique peuvent-ils nous mettre à l’abri ? Au Nord comme au Sud ?
Ces 21 idées reçues mêlant histoire, science et géographie nous permettent de démêler le vrai du faux sur ces catastrophes climatiques qui effraient autant qu’elles fascinent.

Pour en savoir plus ou pour le commander, cliquez ICI.

 

Géopolitique de l’eau, de David Blanchon

La ressource en eau est souvent comparée au pétrole dont la pénurie conduirait à une « crise de l’eau » imminente, permanente, locale et globale. De ce constat alarmiste aux guerres de l’eau prédites par certains, il n’y a qu’un pas. Pourtant, la place de l’eau dans les conflits est débattue. Si elle les aggrave, elle en est rarement la cause première, et peut même être un bon terrain de coopération lorsque l’on veut faire la paix. Plus qu’une « crise de l’eau » liée à une pénurie naturelle, la géopolitique de l’eau est gouvernée par des politiques de l’eau déficientes, et par la difficulté à garantir la sécurité hydrique, le tout aggravé par le réchauffement climatique. Mais des solutions pour une « nouvelle culture de l’eau » existent, encore faut-il réussir à les mettre en place.
Au travers de cette analyse précise, David Blanchon détaille les trois grands défis pour la gestion de l’eau au XXIe siècle : préserver l’écosystème, fournir à tous une eau potable et procurer suffisamment d’eau pour l’agriculture. Car sa place centrale dans la satisfaction de besoins humains fondamentaux fait de l’eau, au même titre que le climat, un enjeu global.

Pour en savoir plus ou pour le commander, cliquez ICI.

 

Géopolitique des pôles, de Anne Choquet, Camille Escudé-Joffres et Frédéric Lasserre

Les régions polaires sont engagées dans un processus de changements climatiques majeurs qui font redouter une cristallisation des rivalités pour l’accès aux richesses minières et énergétiques, ainsi qu’aux nouvelles routes maritimes dégagées par la fonte de la banquise.
Ainsi, serions-nous à l’aube d’une nouvelle Guerre froide, voire d’un conflit armé. Or, une analyse précise de la situation et des acteurs en présence montre que ces scénarios-catastrophes sont grandement exagérés.
Plutôt que l’affirmation de la souveraineté individuelle des États, on assiste en effet à la mise en place d’une coopération au travers de traités internationaux spécifiques et d’instances de dialogue. Car l’enjeu est avant tout de gérer les impacts dévastateurs des changements climatiques au regard desquels la question de savoir à qui appartiennent les pôles semble bien dérisoire…

Pour en savoir plus ou pour le commander, cliquez ICI.

 

Géopolitique des îles, de Marie Redon

Espace suscitant rêves et fantasmes, l’île est souvent perçue comme une forme de laboratoire qui concentrerait des processus manifestes à l’échelle de la planète. Traditionnellement appréhendée comme objet d’enjeux stratégiques, l’approche des îles est renouvelée dans le contexte de la mondialisation. Au-delà de leurs singularités, celles-ci donnent en effet un éclairage spécifique sur les grands processus géopolitiques contemporains tels que les migrations, la régionalisation, le tourisme de masse, les paradis fiscaux, le changement climatique, etc.

Entre représentation fantasmée et réalité intrinsèque, où se situe la vérité des îles contemporaines ? Quelle est leur place sur l’échiquier géopolitique mondial ?

Pour en savoir plus ou pour le commander, cliquez ICI.

 

 

 

 

 

 

 

Posté le 26 février 2020

Focus sur l’endométriose

A l’occasion de la 19e semaine européenne de prévention et d’information sur l’endométriose, nous vous proposons un focus sur cette maladie avec l’ouvrage suivant :

Idées reçues sur l’endométriose, de Pr Chapron et Yasmine Candau (dir.)

Mal connue, peu médiatisée, l’endométriose touche pourtant près d’une femme sur 10 en France. Souvent banalisée et ramenée à de simples règles douloureuses, cette pathologie est encore difficilement diagnostiquée, ce qui retarde d’autant une prise en charge adaptée et laisse un nombre important de jeunes filles et de femmes dans la souffrance.
Il est donc essentiel de mieux informer patientes et médecins sur les causes, les symptômes et les traitements de l’endométriose.
C’est la mission d’Endofrance et celle de ce petit livre.

Lire un extrait et voir la fiche complète du livre ICI.
Pour plus d’informations et pour obtenir de l’aide, rendez-vous sur le site d’EndoFrance.

Posté le 14 février 2020

Sélection prix de géopolitique du Festival de géopolitique de Grenoble

Le festival de Géopolitique se déroulera du 25 au 28 mars 2020 à Grenoble. Le festival c’est plus de 160 intervenants, 100 animations, de nombreuses conférences et un salon du livre.

Le Prix du meilleur livre de géopolitique récompense des ouvrages qui offrent un éclairage marquant sur les questions internationales
Cette année, il est décerné par les membres du comité scientifique du Festival de Géopolitique
Pour l’édition 2020, les nominés sont :
• Blandine Chélini-Pont (Dir) : Géopolitique des religions, Paris, le Cavalier Bleu, 2019
• David Blanchon : Géopolitique de l’eau : entre conflits et coopérations, Paris, le Cavalier Bleu, 2019.
• Jean-François Gayraud : théories des hybrides, CNRS 2017 (mouvements terroristes et crime organisé)
• Jean-Vincent Holleindre : la ruse et la force, Perrin 2017.

Posté le 23 janvier 2020

Focus sur les transidentités

Cette semaine, à la suite des attaques contre le Planning familial, nous vous proposons deux ouvrages essentiels pour mieux comprendre la transidentité :

Transidentités et transitudes : se défaire des idées reçues, de Karine Espineira et Maud-Yeuse Thomas

Si la transidentité n’est pas un fait nouveau, les franchissements de genre suscitent toujours préjugés, brutalités, théories et pressions sur les existences des personnes concernées. Lorsque l’on évoque les transidentités, des questions viennent ainsi inéluctablement : comment un homme pourrait-il devenir une femme ? Une femme, un homme ? Ces formulations ont-elles un sens ? Pour qui et pourquoi ? Une autre question surgit : quel est le sens du mot devenir ? Car les transidentités, appréhendées par le concept d’identité de genre ou sous l’idée d’expériences de vie trans, réinterrogent l’analogie « naissance = assignation ».
C’est tout l’enjeu de cet ouvrage que de montrer que les transitions sont plurielles et bien plus complexes qu’un passage sans retour d’un point A à un point B, que le verbe « devenir » doit être pris au sens fort de « devenir enfin la personne que l’on est ». Être trans est ainsi une expérience du monde qui questionne la construction sociale qu’est la binarité.
On ne naît pas, on devient…

Voir la fiche du livre ICI.

 

Sociologie des transidentités, dArnaud Alessandrin

Les figures trans sont partout. Dans les clips, la mode, les séries, les faits divers… Pourtant, cette visibilité ne s’accompagne pas toujours d’une plus grande acceptation. Tour à tour caricaturé, psychiatrisé, dans le meilleur des cas ignoré, dans le pire rejeté, le fait transidentitaire pose problème. A l’image de l’homosexualité, les peurs et les tabous demeurent.
C’est sur la base de ce constat que ce livre propose un bilan des savoirs sur « les » questions trans, en insistant sur les différents fronts, de l’espace médical à l’espace social, en passant par les arènes juridiques et scientifiques. Laissant de côté la question du « pourquoi » (« pourquoi est-on trans ? » ou « pourquoi le devient-on ? »), l’auteur s’intéresse à la question du « comment » et des logiques sociales à l’œuvre dans les controverses transidentitaires.

Voir la fiche du livre ICI.

Posté le 2 janvier 2020

Bonne année 2020 !

 

Le Cavalier Bleu vous souhaite une très belle nouvelle année !

Qu’elle soit remplie de doux moments, de joie, de combats à mener et de bonnes lectures pour réfléchir et changer d’angle. Parce que nous avons plus que jamais besoin des sciences humaines pour rendre notre monde intelligible.

Posté le 16 juillet 2019

Géopolitique des données numériques primé !

L’ouvrage d’Amaël Cattaruzza, Géopolitique des données numériques, obtient le prix Impératrice Eugénie 2019.

Ce prix, décerné par la Société de Géographie, a été fondé en 1869 comme prix pour les sciences auxiliaires et services rendus à la Société de Géographie.

Au cours des deux dernières décennies, la production de ­données numériques a connu une croissance sans précédent, transformant les relations entre états, mais aussi entreprises privées (GAFAM) et autres acteurs (hackers, cybercriminels, etc.). Ces dynamiques conduisent à s’interroger sur les nouvelles formes de rivalités territoriales dans ce contexte ouvert et réticulaire où la localisation physique des données peut ne pas correspondre à leur localisation logique ou juridique.
Or, le traitement de ces masses de données disparates nécessite ­aujourd’hui l’utilisation de nouveaux outils (Big Data, intelligence ­artificielle) qui sont devenus des instruments de pouvoir sur la scène internationale. Et dont l’usage impacte plus généralement les modes de gouvernement politique de nos sociétés.
Dans cet ouvrage dense et très complet, Amaël Cattaruzza montre comment les données numériques ont doublement modifié la géopolitique. D’une part en redéfinissant les notions de frontière et de puissance entre états et acteurs non étatiques, et de l’autre en refaçonnant son propre champ d’étude.

Cliquez ICI pour aller vers la fiche complète du livre.

 

La remise du prix aura lieu le 28 novembre 2019 à partir de 16h dans l’amphithéâtre rénové au 184, boulevard Saint Germain à Paris.
Pour plus de renseignements www.socgeo.com ou par mail societegeographie@gmail.com

 

L’ouvrage a été également par l’European Cyber Week, en novembre 2019.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur leur site.

Posté le 11 février 2019

Sélection Géopolitique

Cette semaine, nous vous proposons un focus sur notre collection dédiée à la géopolitique.

L’interdépendance croissante de nos sociétés complexifie les relations entre les peuples, les espaces, les faits. De nouvelles questions émergent qui dépassent les frontières du seul territoire.
État des lieux du monde contemporain, la collection Géopolitique permet ­d’aborder ces questions dans leur globalité et ainsi ­saisir les nouvelles relations de pouvoir.

Collection lancée en 2019, elle compte actuellement 12 titres, que vous pouvez retrouver en cliquant ICI.
La collection s’enrichit régulièrement de nouveaux titres dont à paraître prochainement :

– Géopolitique de la jeunesse
– Géopolitique du risque
– Géopolitique de la santé

 

 

Posté le 21 décembre 2018

Fermeture vacances d’hiver

Le Cavalier Bleu sera fermé pendant les fêtes de fin d’année, du 23 décembre au 2 janvier.
Toutes les commandes passées après le 22/12 seront expédiées à partir du 2/1.

Nous vous souhaitons de très bonnes fêtes à toutes et à tous !

Posté le 6 juin 2018

Prix Planète Bleue 2018

Avec la création de ce prix, Nausicaa poursuit sa mission de sensibilisation au monde marin, cette fois à travers la lecture.

Et cette année, le Prix Planète Bleue est attribué à… Biomimétisme : on n’a rien inventé, de Alain Thiéry et Cécile Breton !

Le Velcro, l’ouverture des canettes de soda, le Shinkansen (TGV japonais), l’architecture de la Tour Eiffel, le stade olympique de Pékin, et de nombreux autres exemples encore témoignent de la source d’inspiration qu’est la nature pour les ingénieurs, les médecins, les architectes, et autres chercheurs.
En effet, c’est en scrutant le vivant, les plantes et les animaux, que l’homme a trouvé, trouve et trouvera des solutions à nombre de ses problèmes. Plus qu’une simple « copie », le biomimétisme traduit une attention, une attitude observatrice et non dominatrice de la nature, pour reproduire de façon optimale certains dispositifs qu’elle a mis en place et les adapter à l’humain.
Cet ouvrage fourmille d’exemples détaillés dans un style accessible et ludique, pour que nous ne regardions plus la nature comme avant.

En partenariat avec la revue
Voir la fiche du livre en cliquant ICI.

Posté le 10 avril 2018

Géopolitique : pour mieux comprendre ce qu’il se passe dans le monde

Les informations tournent en boucle sur les conflits latents ou non, les attentats, les tensions entre pays, le bouleversement du Moyen-Orient etc. Pour réussir à comprendre les enjeux qui se cachent derrière tout cela, il est nécessaire de prendre un peu de recul, de revenir aux origines d’un phénomène, de plonger dans l’histoire d’un pays, pour sortir des idées reçues et réussir à démêler le vrai du faux.
C’est tout l’objectif de notre collection idées reçues, et de cette sélection :
Israël et ses paradoxes, de Denis Charbit. Pour en savoir plus.
20 idées reçues sur la Turquie, de Benjamin Gourisse. Pour en savoir plus.
Jihad des origines religieuses à l’idéologie, de Myriam Benraad. Pour en savoir plus.
Les Paradoxes de l’Iran, de Fariba Adelkhah. Pour en savoir plus.
La Russie par-delà le bien et le mal, de Pascal Marchand. Pour en savoir plus.
Liban : identités, pouvoirs et conflits, de Daniel Meier. Pour en savoir plus.

Et bien d’autres titres à retrouver sur notre site, dans la collection Idées reçues.

Posté le 24 juillet 2017

Fermeture estivale

Le Cavalier Bleu prend ses quartiers d’été. Nos bureaux seront fermés du 28 juillet au 21 août.

Nous vous souhaitons un bel été !

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